Retro Pixel Castles. Village, défense, dieu, losing is fun.

You can’t win !

http://retropixelcastles.com

C’est ainsi que débute la présentation du jeu Retro Pixel Castles, développé par SixtyGig Games (un seul gars, du Texas). C’est fait pour Windows, Linux et Mac. Disponible en Early Access pour un peu moins de 10 euros (donne une clef Steam) :

Steam : http://store.steampowered.com/app/328080/
itch.io : http://rayvolution.itch.io/retropixelcastles
Indie Game Stand : http://indiegamestand.com/store/1924/retro-pixel-castles/

Le jeu utilise Steam pour la distribution et les mises à jour, mais sans DRM, et le développeur s’engage à ne jamais vendre autre chose que le jeu de base (toutes les mises à jour futur seront gratuites, DLC ou patch ou autre).

C’est quoi, Retro Pixel Castles ? Gestion + Tower Defense + Godlike.

C’est de la gestion d’un village sans control direct des villageois, village que des zombies et autres slims attaquent sans relâchent de plus en plus souvent et violemment, jusqu’à l’anéantissement du joueur, qui ne peut pas gagner mais seulement survivre pour un temps… Il faut construire les quelques éléments du village (un centre, de quoi récolter pierre, bois et cristal, des fermes pour la nourriture des habitations pour les soins et le bonheur, des postes de garde, des tourelles, des murs… A cela s’ajoutent les pouvoirs d’influence, directement inspirés par certains « godlike » et STR : boule de feu, soin de zone, téléportation, bannissement, pousse forcée des plantes…

Le trailer de la dernière mise à jour, version .15 :

[embeded]http://www.youtube.com/watch?v=flx4qFDPbXc[/embeded]

Ma présentation :

L’écran d’accueil change en présentant une carte aléatoire. Une fois entré un nom de profil, il est possible de fabriquer des cartes via l’éditeur intégré, ou de jouer sur une carte officielle ou communautaire.

De taille et de difficulté variables, les cartes sont variées.

Pour première tentative, j’arrive au jour 6, en me mettant dans un coin de la carte. Comme vous pouvez le voir en plissant les yeux, en haut à droite, il me reste seulement 7 habitants. La fin est proche.

Je fais ce que je peux, mais j’ai plusieurs zombies et squelettes qui tabassent mes derniers survivants. En manque d’influence, je lance un sort naze, des flammes qui brûlent… tout.

J’ai perdu. Il ne me reste plus qu’à détruire un nouveau village lors d’une prochaine partie.

Je choisis une carte assez petite avec une forme rigolote, parce que j’aime bien les formes rigolotes

La première étape est toujours de placer le Village Center, puis d’assigner des villageois à ce centre via le panneau en bas de l’écran.

A gauche du village, les deux structures roses sont des entrepôts pour du bois et de la pierre. Au dessus on peut voir des points vert, jaune, orange, rouge : c’est une zone de travail que j’ai désigné. Les villageois assignés au Village Center vont se mettre à couper du bois et ramasser des pierres, pour ensuite construire les bâtiments. Une fois construits, je vais devoir assigner des travailleurs à ses bâtiments, et donc retirer des villageois du Center. Il faut donc gérer les stock de travailleurs. Les villageois se reproduisent. Pour ce faire, ils leur faut du temps libre. Ils discutent entre eux, puis s’unissent. Un couple dont le bonheur cumulé est supérieur à 100 a une chance de donner un enfant. L’enfant grandit, devient villageois, gagne de l’expérience, monte en niveau et résiste mieux aux attaquent. C’est pourquoi les villageois du départ sont importants pour la survie du village (les monstres étant de plus en plus fort, les villageois niveau 1 se font déchiqueter rapidement).

Cette carte est très ouverte, les attaques peuvent venir de partout, il me faudra donc construire des murs rapidement pour détourner les attaquent. Comme le jeu est orienté « Tower Defense », les zombies ne cassent pas les murs s’il existe un chemin vers le village. On peut donc construire des murs pour faire des goulots protégés par des tours et des postes de garde.

Le jeu est un peu lent parfois, mais les rush de zombies sont flippants (dans le sens mortels…). Il lui manque quelques options, plus de bâtiments, de pouvoirs, une meilleure gestion des gardes, etc, mais il reste actuellement plaisant à jouer le temps de quelques heures ou plus.

Il a un excellent potentiel de godlikitude, à voir si le développeur est capable de le saisir.

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